Tous les types d’activité physique sont divisés en fonction de la quantité de charge, parmi lesquels il existe une grande (extrême), importante (presque extrême), moyenne et petite. Les degrés d’intensité des charges énumérés correspondent à différents niveaux de qualification sportive: athlètes de l’ekstraklass (champions olympiques et champions du monde), maîtres de sports de classe internationale, maîtres de sports, déchargeurs, autres personnes engagées et non engagées dans la culture physique et, enfin, ceux qui recourent à la kinésithérapie dans le but de réhabiliter certaines fonctions corporelles à l’aide d’une activité motrice dosée. Cependant, à chaque niveau, il existe des limites à leurs capacités, limitant les performances physiques d’une personne. Il faut garder à l’esprit que les facteurs limitant la performance dépendent du type d’activité physique,
1. Sports cycliques (athlétisme de fond, natation, ski de fond, cyclisme, courte piste, patinage de vitesse, aviron et kayak académique, etc.). Ils nécessitent une démonstration prédominante d’endurance, car ils impliquent la répétition répétée de cycles de mouvements stéréotypés. Ces types d’activités entraînent la consommation d’une grande quantité d’énergie.
2. Sports de vitesse et de puissance (toutes les distances d’athlétisme et de sprint, lancer, haltérophilie, etc.). Une caractéristique distinctive de ces sports est une activité physique explosive, de courte durée et très intense. Dans la plupart des cas, les capacités de vitesse dépendent de déterminants génétiques et ne répondent pas bien à la fois à l’entraînement et à l’influence des médicaments.
3. Arts martiaux (escrime, tous types de lutte, boxe, arts martiaux, etc.). Un trait caractéristique de la dépense énergétique dans les arts martiaux est un niveau d’activité physique non constant et cyclique, dépendant des conditions spécifiques de la compétition et atteignant parfois une intensité très élevée.
4. Jeux sportifs (hockey, soccer, etc.). Ils se caractérisent par une alternance constante d’activité musculaire intense et de repos (à des moments où les athlètes ne sont pas directement impliqués dans les épisodes de jeu). Dans le même temps, en plus de l’endurance, la coordination des mouvements et la stabilité mentale sont d’une grande importance.
5. Sports de coordination complexes (patinage artistique, patinage sur glace, voile, sports équestres, ski acrobatique, slalom d’aviron, gymnastique, plongeon, tir).
Les types d’activités physiques de coordination complexes sont basés sur les éléments les plus subtils du mouvement, ce qui nécessite une endurance et une attention considérables. Dans le même temps, l’activité physique varie considérablement. Par exemple, pour faire un saut difficile, vous avez besoin de beaucoup de puissance explosive, et lors du tir, vous devez être capable de vous concentrer et de réduire les tremblements.
6. Sports polyvalents et combinés (pentathlon moderne, athlétisme dix et heptathlon, triathlon, biathlon, etc.). Cette catégorie de sports se caractérise par une structure combinée de mouvements qui combinent travail cyclique et acyclique.
Conformément à d’autres classifications, il existe des groupes de sports dans lesquels l’activité des athlètes est caractérisée par une pensée compositionnelle abstraite (dames, échecs). De tels types d’activité physique nécessitent une approche particulière pour restaurer et maintenir à la fois le niveau intellectuel et la forme physique.
Les qualités motrices (physiques) des athlètes spécialisés dans les sports d’orientation différente sont divisées en capacités de vitesse, flexibilité, force, capacités de coordination et endurance.
Les capacités de vitesse d’un athlète sont comprises comme un ensemble de propriétés fonctionnelles qui assurent la réalisation d’actions motrices en un temps minimum. Il existe des formes élémentaires et complexes de manifestation des capacités de vitesse.
Les formes élémentaires se manifestent dans le temps de latence des réactions motrices simples et complexes, la vitesse d’exécution d’un mouvement individuel avec une résistance externe insignifiante et la fréquence des mouvements.
Des formes complexes de manifestation des capacités de vitesse dans des actes moteurs complexes, caractéristiques de l’entraînement et des activités de compétition dans divers sports, sont fournies par des formes élémentaires de manifestation de la vitesse dans diverses combinaisons et en combinaison avec d’autres qualités motrices et compétences techniques.
Flexibilité — propriétés morphofonctionnelles de l’appareil de mouvement et des supports qui déterminent l’amplitude de mouvement d’un athlète. Le terme « flexibilité » est plus approprié pour évaluer la mobilité totale des articulations de l’ensemble du corps. Lorsqu’il s’agit d’articulations individuelles, il est plus correct de parler de leur mobilité (mobilité des articulations de la cheville, mobilité des articulations de l’épaule, etc.).
Il y a une distinction entre la flexibilité active et passive. La flexibilité active est la capacité d’effectuer des mouvements de grande amplitude en raison de l’activité des groupes musculaires entourant l’articulation correspondante. Flexibilité passive – la capacité d’atteindre la plus grande amplitude de mouvement en raison de forces externes. Les scores de flexibilité passive sont toujours plus élevés que les scores de flexibilité active.
Sous la force d’une personne, il faut comprendre sa capacité à surmonter la résistance ou à la contrer en raison de l’activité des muscles.
La force peut se manifester dans le mode isométrique (statique) de fonctionnement des muscles, lorsqu’ils ne changent pas de longueur sous tension, et dans le mode isotonique (dynamique), lorsque la tension est associée à un changement de longueur musculaire. Dans le mode isotonique, il existe deux variantes : concentrique (dépassement), dans laquelle la résistance est surmontée par la tension musculaire lorsque leur longueur diminue, et excentrique (rendement), lorsque la résistance est contrecarrée lors de l’étirement, augmentant la longueur des muscles.
Il existe les principaux types de qualités de force suivants : force maximale, force de vitesse et force endurance.
Sous la puissance maximale il est nécessaire de comprendre les opportunités les plus élevées que l’athlète est capable de montrer avec la contraction musculaire volontaire maximale. Le niveau de force maximale se manifeste par l’ampleur des résistances externes que l’athlète surmonte ou neutralise avec une mobilisation volontaire complète des capacités du système neuromusculaire. La force humaine maximale ne doit pas être assimilée à la force absolue, qui reflète les capacités de réserve du système neuromusculaire. Des études montrent que ces capacités ne peuvent pas se manifester pleinement même avec une stimulation volontaire extrême, mais ne peuvent être détectées que sous des influences externes spéciales (stimulation électrique des muscles, étirement forcé de muscles extrêmement contractés). La force maximale détermine en grande partie la performance athlétique dans des sports tels que l’haltérophilie, le lancer d’athlétisme, le saut et le sprint, divers types de lutte et la gymnastique. Le rôle de la force maximale dans la natation de vitesse, l’aviron, le patinage de vitesse et certains jeux de sport est assez important.
Vitesse Puissance — c’est la capacité du système neuromusculaire à mobiliser le potentiel fonctionnel pour atteindre des performances élevées dans les plus brefs délais. La force de vitesse a une influence décisive sur les résultats en course sprint, nage sprint (50 m), cyclisme (piste, sprint et git à 1000 m à partir d’un arrêt), sprint en patinage de vitesse (500 m), escrime, saut d’athlétisme, divers types de lutte, boxe. La force de vitesse doit être différenciée en fonction de l’ampleur des manifestations de la force dans les actions motrices, qui imposent des exigences différentes aux capacités de vitesse et de force de l’athlète. La force de vitesse exercée dans des conditions de résistances suffisamment grandes est généralement définie comme une force explosive, et la force exercée dans des conditions de résistance à des résistances relativement petites et moyennes avec une vitesse initiale élevée est considérée comme la force de départ. La force explosive peut être cruciale lors d’un démarrage efficace en course de vitesse ou en natation, et de la force de démarrage – lors de coups de poing au badminton, de boxe, de tirs à l’escrime, etc.
L’endurance de force est la capacité de maintenir une activité physique suffisamment élevée pendant une longue période. Le niveau d’endurance de la force se traduit par la capacité de l’athlète à surmonter la fatigue, à réaliser un grand nombre de répétitions de mouvements ou à appliquer une force prolongée dans des conditions de résistance externe. L’endurance de force est l’une des qualités les plus importantes qui déterminent le résultat dans de nombreux types de compétitions sportives cycliques. Cette qualité est également très importante en gymnastique, dans divers types de lutte et en ski alpin.