Construire des épaules puissantes et fortes – 2

Développement de la ceinture scapulaire

Maintenant que vous avez atteint ce point, vous comprenez maintenant ce qu’est l’isolement du travail de l’épaule. Nous arrivons donc à l’essentiel, qui est de travailler le développement de nos épaules. On commence comme d’habitude par l’anatomie. Le muscle deltoïde est divisé en trois actons :

– I – avant ;
– II – latéral;
– III – arrière.

Cependant, il convient de prêter attention au caractère extrêmement important de leur travail, qui repose toujours sur une action synergique, jamais séparée. Il est impossible d’isoler un acton, mais vous pouvez le diriger vers un travail plus intensif, mais ne jamais l’isoler.

En résumé, les épaules sont aussi fortes que leur point le plus faible. Lors de la rédaction d’un plan de formation, vous devez prioriser le développement de la partie la plus faible. Notez le reste un par un

et respectez ce plan, n’oubliez pas de prioriser au tout début de la formation.

Point de tension

Afin de se concentrer sur le travail des épaules et de ne pas engager les muscles de la poitrine et du dos au travail, il faudra déterminer le point de plus grande pression musculaire, qui dans ce cas a lieu au niveau de l’épaule hauteur, lorsque les bras sont parallèles au sol. Par conséquent, lors de l’exécution de divers types de montées, ne soulevez pas le poids ou toute la longueur de l’humérus au-dessus de cette ligne. Nous ne soulevons que jusqu’au point de tension.

Fibres musculaires Les fibres musculaires

sont l’élément le plus important dans la construction des muscles. Encore une fois, nous devons revenir à l’anatomie et nous interroger sur la division des fibres dans les muscles de l’épaule. On suppose que 70% à 30% est la part des fibres résistantes, c’est-à-dire des fibres rouges. Les stimuli les plus bénéfiques pour les épaules seront donc ceux dirigés principalement vers ces fibres. Par conséquent, nous nous concentrons sur l’entraînement impliquant principalement des fibres de type I, IIA et dans une moindre mesure IIB, c’est-à-dire des fibres de force. On se dirige donc vers l’endurance (caractérisée par un temps de tension musculaire plus long, un travail de longue durée) et le dynamisme. Nous n’abandonnons pas les activités basées sur le levage, mais les limitons à environ 30% de l’ensemble de la formation.

Le plan de mouvement

Comme dans le cas d’autres grandes parties musculaires, il existe une division en un plan vertical (activités telles que soulever ou serrer) et un plan horizontal (travail de l’action du dos, mouvements dans la chute du torse ). Dans notre plan d’entraînement, outre la prise en compte du travail des actons, prenons également en compte le plan de déplacement.